Réflexions sur la décennie écoulée depuis le miracle de l’Hudson

Par un après-midi frais de janvier 2009, le vol 1549 décolle de l’aéroport LaGuardia de New York à destination de Charlotte, en Caroline du Nord. Cependant, peu après le décollage, une volée d’oies canadiennes heurte l’Airbus A320, provoquant une perte de poussée des deux moteurs. Face à des options et à un temps de plus en plus restreints, le commandant de bord Sullenberger et le copilote Jeffrey Skiles se retrouvent confrontés à un dilemme urgent et potentiellement mortel.

Conscient de leur incapacité à retourner en toute sécurité à LaGuardia ou à rejoindre un autre aéroport, Sully a pris la décision cruciale de faire glisser l’avion sur le fleuve Hudson. Ce qui s’en est suivi est un exemple classique de sang-froid et de rapidité de réflexion qui a permis de préserver les 155 vies à bord.

L’échange évocateur du cockpit

Le son du cockpit de ce jour fatidique est aussi inspirant qu’il donne des frissons. Le comportement calme de Sully transparaît, même au milieu de ce scénario à enjeux élevés.

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