L’argent colloïdal antibiotique interdit

L’argent dans son application antibiotique et désinfectante a été délaissé suite à la mode des antibiotiques. Mais l’utilisation systématique de ces antibiotiques a entraîné l’apparition de nouvelles souches de bactéries résistantes. Faut-il rappeler que :

Des souches de staphylocoques dorés résistants à la méthicilline et à d’autres antibiotiques sont endémiques dans les hôpitaux.
On constate l’apparition d’entérocoques résistant à la vancomycine ; ces bactéries infectent les blessures, les voies urinaires et d’autres sites.
Actuellement, environ 30 % des isolats de streptocoques pneumoniques sont résistants à la pénicilline, le médicament essentiellement utilisé pour traiter cette infection.
Plus de 30 % des isolats de blennorragie sont résistants à la pénicilline ou à latétracycline, ou aux deux.
La résistance à la chloroquine (médicament employé dans le traitement du paludisme) est apparue dans la plupart des régions du monde.
Des souches de bacilles tuberculeux résistantes à un grand nombre de médicaments sont apparues au cours de la décennie écoulée.
Dans les pays en développement où apparaissent des souches résistantes de bactéries extrêmement pathogènes, comme Shigella dysenteria, Campylobacter, E coli. Dernièrement, Salmonella typhimurium, résistant à l’ampicilline, à la streptomycine, à la tétracycline, au sulfa et au chloramphénicol, a provoqué des maladies en Europe, au Canada et aux États-Unis.
Des études récentes ont rapporté la résistance d’espèces Candida au fluconazole, un médicament largement employé pour traiter les maladies fongiques systémiques.
Grâce à son effet naturel antimicrobien, l’argent doit reprendre aujourd’hui la place qui lui revient.

Compléments alimentaires

C’est sous forme colloïdale que l’argent s’avère le plus efficace, le mieux assimilable et sans toxicité. Les colloïdes sont ces particules extrêmement fines* qui ne se déposent pas dans les tissus et restent en suspension pour une disponibilité immédiate aux cellules. Les liquides circulants les plus importants (sang et lymphe) sont eux-mêmes de nature colloïdale. Une observation a montré que des microorganismes pathogènes qui s’étaient immunisés contre les antibiotiques, s’engourdissent après l’administration d’argent colloïdal.

L’élaboration de solutions colloïdales relève de l’emploi d’une haute technologie, et est contrôlée par la microscopie électronique, la méthode GDMS (Glow Density Mass Spectrometry), ainsi que l’absorption atomique. Ces solutions ne doivent présenter aucun trouble. Les particules doivent être invisibles et aucun dépôt ne doit apparaître. La charge électrique négative des particules fait que ces particules restent en suspension dans l’eau et ne nécessitent pas de stabilisateurs, pas de protéines et pas de conservateurs.

Une fois dans l’organisme, ces particules sont attirées d’une façon électromagnétique par les zones malades, traversent les membranes cellulaires et agissent comme catalyseurs en inhibant les enzymes destructrices. * L’argent colloïdal est une solution de particules d’argent dont la finesse est entre 1 et 9 nm (nanomètre) de diamètre (1.000 nm = 1 micron), dans une eau distillée reconduite à une résistivité proche de 25 mS (micro Siemens).
Comment l’argent agit-il ?

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