Les chiens et les chats sont biologiquement carnivores, avec un système digestif conçu pour assimiler des protéines animales. Pourtant, la majorité des croquettes contiennent entre 30 et 60 % de glucides, un taux totalement inadapté qui favorise :
❌ Obésité et diabète
❌ Inflammations chroniques
❌ Maladies rénales et hépatiques
❌ Troubles digestifs et allergies
Depuis l’essor des croquettes industrielles dans les années 1960, on observe une augmentation des cancers et des maladies dégénératives chez les animaux de compagnie.
Les vétérinaires sous influence ?
L’un des points les plus polémiques soulevés par Jérémy Anso concerne le manque de formation en nutrition des vétérinaires.
En France, un étudiant vétérinaire suit en moyenne 20 à 50 heures de cours sur l’alimentation animale durant son cursus. Ces formations sont souvent financées par l’industrie du Pet Food, ce qui soulève un problème de conflit d’intérêts.
Les recommandations nutritionnelles officielles sont en grande partie dictées par la Fédération Européenne de l’Industrie des Aliments pour Animaux Familiers (FEDIAF), où siègent directement les grands fabricants de croquettes.
Ainsi, de nombreux vétérinaires recommandent des croquettes de grandes marques, parfois sans en connaître réellement la composition.
Existe-t-il des alternatives aux croquettes industrielles ?
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